mercredi 9 octobre 2013

Qui sème de bonnes idées récolte … des entreprises, l'exemple Auvergnat


On le sait qui sème de bonnes idées récolte … des entreprises ! Avec les urbanophiles et l’Auvergne nouveau monde notamment, l’ARDE d’Auvergne peut enfin déguster les fruits de sa stratégie marketing : de l’international, de l’implantation d’entreprises et de l’emploi pour 2013 (cf article).

Avec Lyon, Reims, la Bretagne et bien d’autres régions dynamiques, l’Auvergne a su se démarquer d’un point de vue attractivité territorial. Inventif, créatif, l’Agence de Développement Economique Régionale et les acteurs économiques associés ont su faire connaitre et reconnaitre un territoire, ne manquant pas d’atouts certes, mais qui affichait une notoriété spontanée peut être moins importante que certaines autres régions (concurrentes).

Evidemment l’Agence Régional et tout le territoire ont du investir pour mettre au point cette stratégie ambitieuse. Certains parleront d’un coût, d’autre d’un investissement, libre à chacun d’avoir sa propre opinion. Mais on le sait en France on a des idées, il s’agit simplement de créer les conditions optimales pour les faire émerger et se réaliser. Comme le souligne parfaitement Vincent Gollain et Marc Thébault, le marketing territorial doit être avant toute chose, collectif ! Une idée devient concrète avec l’adhésion de tous et en accord avec des moyens (humains et financiers). C’est l’équation la plus simplement … complexe…
 
 

vendredi 5 juillet 2013

Les Agences de Développement Economique à la rescousse du gouvernement ?

Dans une période de restriction budgétaire brutale, de difficultés économiques et sociales chroniques, le gouvernement se tourne vers les agences de développement économique (ADE), afin de puiser les bonnes idées innovantes de ces dernières pour faire face à cette « mutation » économique.

Le CNER a ainsi été sollicité pour cela, et fort de ses 100 ADE adhérentes, il a remis leurs propositions dont une vingtaine a été choisie. Ces différentes actions ont été répertoriées dans 2 catégories : « Rassembler pour mieux anticiper » et « accompagner les mutations et Revitaliser ».

Il est extrêmement positif de constater que les ADE (Agence de Développement Economique) puissent conserver cette légitimité et crédibilité. Leur rôle de proximité, de promotion du territoire, de partenariats avec les acteurs économiques, leurs permettent d’avoir (doivent avoir) une vision objective de ce qu’il se passe sur un territoire donné et de d’être force de proposition.


mercredi 24 avril 2013

One’s upon a time in the Chnooooord… ou le Nord en anecdotes

Après le lancement de l’opération « Open Space » afin de s’ouvrir à l’international, le Nord ou entendez le Chnord, nous montre comment réaliser une opération de Marketing Territorial en utilisant le Web 2.0.

Alors, loin de moi l’idée de penser malhabilement que plus on s’éloigne du soleil et plus on sait utiliser à bon escient les NTIC. Même si, et je l’avoue avec une rage quasi convulsive, moi qui vit au soleil, je suis encore honteusement profane dans l’utilisation des réseaux sociaux, mais lueur d’espoir, je commence à me soigner à coup de Tweet et de like …

Ainsi vous pensiez tout savoir sur le Nord, vous pensiez que le film de Dany Boon était à lui seul une synthèse épanouie, une peinture vivante, une allégorie colorée de ces fameux gars d’en haut (d’la France), anciens corons ? Mhmm ? Et bien non et re-non.

Dany en a oublié la «créativallée» et sa nouvelle application pour smart phone les « Ch’tites anecdotes ». Oui OK à sa décharge, il lui aurait fallu être plutôt visionnaire à l’époque…

Le Nord pas de Calais a donc développé une application pour smart phone, destinée à faire connaître les anecdotes propres à la région, et montrer par la même occasion le dynamisme de ce territoire. Par exemple savez vous que le marionnettiste de nounours est ch’ti ? Que le cinéaste Arnaud Desplechin est originaire de Roubaix ? Oui bon je ne tolérerai aucun sourire moqueur sur ce blog… mais comme l’objectif avoué est d’avoir une anecdote par jour, il n’est pas toujours certain d’avoir du people explosif quotidiennement, mais avouez que l’idée est plutôt sympa.

D’ailleurs l’idée va même au-delà de la simple appli certes ludique, puisqu’elle permet de fédérer et de contribuer au développement de l’image promotionnelle du département. En effet, cet outil assure l’animation du groupe des ambassadeurs régionaux (plus d’information sur les ambassadeurs cf le blog de Vincent Gollain). Elle permet par ailleurs de rebondir sur l’ensemble des réseaux sociaux dédiés (Facebook, Twitter, etc).

Il s'agit encore une fois d'un bel exemple d'utilisation des outils technologiques d'aujourd'hui qui contribuent à l'attractivité d'un territoire (cf post publié).

 

mercredi 17 avril 2013

Le (futur) cerveau qui valait 1 milliard...

N’y voyez aucun demi chauvinisme de ma part, en tant que double national Franco-Suisse, j’avoue que lorsqu’une information vient à vanter l’excellence helvétique, je me dois en toute neutralité… de vous exposer les faits.

L’Europe vient d’accorder un financement d’un milliard d’euros sur 10 ans pour le projet HBP - Human Brain Project, piloté par l’École polytechnique fédérale de Lausanne.

Après le projet américain « the brain activity map project », l’Europe se penche sur notre matière grise et met la main à la poche.

En quelques mots, ce projet rassemble prés de 80 partenaires européens et vise à compacter toutes les connaissances en Neurosciences afin de proposer un modèle informatique complet sur le fonctionnement de notre cerveau. Ce modèle permettra de simuler différentes pathologies et effets de traitements expérimentaux, de mieux comprendre le fonctionnement fondamental du cerveau (cognition, génétique, etc) et cela permettra également de proposer un nouveau modèle informatique basé sur une meilleure connaissance des circuits neuronaux.

Projet ambitieux et fédérateur, il se veut être le "nouveau CERN dédié au cerveau".


lundi 8 avril 2013

Du Marketing Territorial pour financer un club de rugby… ou un club de rugby pour faire du Marketing Territorial ?

Le territoire Perpignanais, s’est vu doté d’une nouvelle agence de développement économique (ADE) voulu conjointement par les différents partenaires économiques locaux.

Cette nouvelle agence semble axer ses priorités par des actions de Marketing Territorial, en misant sur le développement d’une image et d’une promesse client. Les fameux piliers de toute stratégie d’attractivité territoriale.

Or à peine née, l’ADE de la communauté d’agglomération Perpignan-Méditerranée créée une polémique locale (buzz ?), et pour nous les amateurs de stratégie de Marketing, un nouveau sujet à débattre.

Afin de ménager un bien frêle suspens et sans dévoiler explicitement le sujet en question, je me permets puisque c’est mon blog AMOA, de faire un détour du côté du CNER afin de revenir sur des exemples de missions dévolues aux agences de développement économique. En effet pour être concis une ADE peut remplir les missions suivantes :

-          Aide à la création, au développement et à la reprise/transmission d’entreprises
-          Prospection et accueil d’entreprises françaises et internationales
-          Construction et amélioration de l’offre territoriale
-          Promotion économique du territoire
-          Accompagnement des territoires en mutation économique
-          etc

Or lorsqu’un club sportif nécessite un financement pour tenter de se maintenir au plus haut niveau et que celui-ci vient d’une ADE subventionnée tout ou partie par des fonds publics, est ce un détournement de nos deniers ou un sponsoring venant s’ajouter aux actions de valorisation du territoire ? A nos stylos nous avons 4 heures…

Pour l’ADE de la communauté d’agglomération Perpignan-Méditerranée, cela ne fait aucun doute, il s’agit bien d’une opération de Marketing Territorial.

Alors peut être qu’effectivement et excusez l’image légèrement empruntée et circonstanciée à notre Président, le Marketing Territorial est bien une boite à outil et on peut y trouver toute sorte de solutions.

Enfin, je ne peux terminer ce « post » sans citer le RCT, et je le fais avec le plus grand respect pour l’USAP, mais le plus grand club du top 14, c’est bien nous qui l’avons !!!!! et j’avouerai qu’à titre personnel sinon professionnel, je verrais bien Monsieur Wilkinson arborer sur sa tenue un « j’ai choisi le Var alors pourquoi pas vous ? »…



lundi 18 mars 2013

L’Alsace de A à Z...

Ahhhhh l’Alsace et ses Vignes, sa Bière, sa Flammeküche, ses Spaetzle, son Bakeoffe, son Kougelhopf, ses Bredele, ses Mannala, mais surtout son « akkzent guttural » et sa choucroute…

Oui mais l’Alsace ET son ABCEDaire !

Afin de promouvoir de manière innovante, ludique et participative son territoire et de jouer sur les clichés, l’Alsace à mis au point la version électronique de son ABCEdaire.

Comme le précise Vincent Gollain, le Marketing Territorial est une boite à outils dont un des éléments principaux (il y en a 4) est le développement de techniques et d’outils performants.

L’Alsace l’entend bien de cette manière et elle a pris conscience de l’opportunité du développement des réseaux sociaux et technologies d’aujourd’hui (smartphones, tablettes, etc).

Existant initialement en format papier, l’ABCEDaire est donc disponible aujourd’hui en format numérique. Ceci a été rendu possible grâce aux soutiens d’une quarantaine de partenaires.

Et bien oui les initiatives de marketing territorial doivent être collectives ! Et je rejoins Marc Thébault sur ce point, ai-je le choix ? C’est quand même Marc Thébault.

L’ABCDaire numérique contient à ce jour pas loin de 470 références, définitions et anecdotes réparties en sept rubriques qui présentent la vie économique, universitaire, culturelle, etc de la Région Alsacienne.

L’ABCEDaire va même au-delà d’une simple interface statique, puisque l’internaute peut ajouter (après validation) des suggestions. Bref un outil interactif, où chaque Alsacien (chaque ambassadeur potentiel) peut contribuer à améliorer et à promouvoir l’image de sa Région.

Enfin comme le précise Eurydice Hallé chargée de mission (ADIRA) dans un des articles du journal DNA « C’est l’Alsace que nous mettons en avant, pas des personnes en particulier ». L’idée me séduit.

Ci après, une vidéo de présentation de l'outil en question:


mercredi 13 mars 2013

Neuromarketing, ange ou démon ?

Vendre son produit, connaître les motivations du consommateur, comment fonctionne t'il, bref quel est son mode d’emploi. Des questions qui en soulèvent bien d’autres.

Comme il est précisé dans l’article de Sylvain sur AGORAVOX, nous serions exposés (victimes ?) de 2 500 à 15 000 impacts publicitaires par jour, on en perçoit 15% et nous en retenons 1%. Le big deal : comment faire partie des 1%, quels outils utiliser pour atteindre ce fameux gotha du 1%.

Belkacem Benabdelhamid, met en avant le fait que les recours aux études comportementales « classiques » telles que études de marché, sondages, etc engendrent des réponses irrationnelles à 85%, donc des conclusions totalement biaisées. Le consommateur serait il fourbe, espiègle, coquin ?!

Nous le savons le cerveau est complexe et son fonctionnement loin d’être totalement compris.

Aujourd’hui de nombreuses marques voient dans les techniques d’IRM fonctionnelle, le sacro saint graal marketing qui permettra de comprendre ce qu’il se passe dans le cerveau du consommateur, voir même soyons foufou dans ses « 3 cerveaux » : le cortex, le cerveau moyen et le cerveau reptilien qui semble jouer un rôle important dans le processus de décision(s). Ainsi comprendre comment toucher nos sens et nos émotions, voir notre inconscient... là aussi ça soulève quelques questions légitimes.

Voici une des expériences les plus connues sur deux sodas ayant le même suffixe « cola », testés à l’aveugle sur un échantillon de buveurs inconditionnels de bubulles. Les consommateurs ont préféré le goût du soda ayant du … « peps », et pourtant leur choix de cœur allait vers son coururent leader. Voilà un casse tête pour ces deux grandes firmes multinationales. Comment expliquer le choix du cœur VS le choix du goût.

Campbells a également fait une étude sous IRMf, pour se rendre compte que les émotions ou plaisirs primaires génèrent de hauts scores d’attention, l’empathie améliore les émotions particulièrement lors de gros plan sur des personnages, etc. Finalement nous autres consommateurs ne sommes pas si compliqués que ça, une belle musique, une belle fille, un beau panorama, une touche d’humour et hop ! Nous retiendrons le produit…

Encore une fois, tout ceci soulève des questions à la fois éthiques et de bon sens.

Ayant travaillé dans un laboratoire de Neurosciences cognitives, j’ai tendance à penser que les techniques d’IRMf doivent nous permettre surtout et essentiellement de soigner les patients, et de comprendre de manière fondamentale le cerveau sain et pathologique. Est-ce un manque d’ouverture d’esprit de ma part ?!

Utiliser ces techniques médicales en pensant que l’on comprendra comment pousser le bouton d’achat du client me paraît délicat, illusoire, et peut être même inutile (le SENAT s’est prononcé contre l’utilisation de l’IRMf à des fins publicitaires, mais pas tous nos pays voisins, aïe où est l’harmonisation Européenne).

Je doute que nous ayons un simple bouton d’achat. Si l’on revient aux fondamentaux du marketing, et à la pyramide de Maslow, j’ai tendance à dire qu’un produit est bon s’il répond à un besoin, s’il est de qualité, à un prix raisonnable, et s’il m’apporte de la valeur ajoutée. Mais je suis parfaitement conscient que j’appartiens à un segment particulier de consommateurs et que je ne reflète pas son ensemble.

Mais comme le précise Belkacem Benabdelhamid le consommateur n’est pas dupe, il ne consomme pas n’importe quoi ! Ce n’est pas parce qu’un produit allume une zone précise du cerveau que la personne ira les jambes à son cou acheter ledit produit (passons sur l’effet du papier toilette chez une personne qui a la gastro, de toute manière elle ne courra pas très loin).

En ce sens je ne suis pas convaincu que l’objectif avoué dans l’utilisation de l’IRMf est d’augmenter la consommation (cf l'article de Myriam Samoli), mais plutôt de comprendre comment faire en sorte que le produit en question nous marque plus que les autres. Est-ce que l’IRMf est indispensable ?

A titre personnel je trouve que certaines berlines allemandes ont un effet certain chez moi, j’avouerai même que l’envie de m’en procurer une m’a parcouru l’esprit, mais entre le rêve et la réalité il y a le porte monnaie, et je roule en voiture française depuis 7 ans.

Enfin si le Neuromarketing permet de :

-           trouver le message le plus percutant
-           d'attirer l’attention du client en jouant sur ses sens et émotions
-           de rendre le produit incontournable par les besoins fondamentaux qu’il comble

A nouveau je ne suis pas sur que l’IRMf soit l’arme absolue. Dans tous les cas ce n’est pas en remplissant ces 3 critères que nous enclencherons à coup sûr le processus d’achat, en effet, je connais un nombre substantiel de produits qui répondent à ces 3 points et que je ne possède pas (mais ils font au moins partie des 1% vu plus haut !).



jeudi 28 février 2013

Voyager dans le cerveau? et pourquoi pas avec une véritable map brain pour ne pas s'y perdre!

Le gouvernement américain va financer un programme d’ampleur (380 millions de dollars sur 10 ans), afin de cartographier de la manière la plus précise possible le cerveau humain actif « the brain activity map project ». Cette cartographie cérébrale permettrait de mieux comprendre le fonctionnement de notre cerveau dans ses composantes temporelles, organisationnelles, et topographiques.

Excusez par avance la simplicité de cette analogie, dont l’imperfection n’aura d’égal que le charme de mes connaissances encore imprécises, mais c’est un peu comme si on souhaitait connaitre précisément l’ensemble du mécanisme d’une montre à aiguille, de la plus petite vis, au plus petit rouage et qu’on l’on s’évertuait à bien comprendre comment tous ces composants interagissent les uns par rapport aux autres, pour faire fonctionner les aiguilles de la dite montre.

Il existe aujourd’hui différentes techniques permettant d’étudier en partie notre substance grise (Cf l’article de A.Paul Alivistatos et al). L’imagerie fonctionnelle par exemple permet de mettre en évidence l’activation de zones cérébrales, mais ne permet pas d’étude à l’échelle neuronale. Par contre cette technique complétée par de nouvelles (futures ?!) techniques électrophysiologiques (nanotechnologie) basées sur l’exploration non invasive de neurones unitaires, permettraient une réelle cartographie et surtout de comprendre le fonctionnement global du cerveau dans différentes situation physiologiques et pathologiques. Il s’agit là d’un nouveau challenge pour nos têtes pensantes.

Une véritable map brain donc qui permettrait d’aiguiller et de diriger les équipes de recherche dans leur parcours et autre voyage exploratoire à l’intérieur du cerveau.
 

J’veux faire du marketing territorial immédiat, réactif, ludique et à faible coût, c’est possible ?

Oui et ça s’appelle Web 2.0 pour les initiés, community manager pour les plus avisés, ou encore réseau social pour les plus futés.

Pour rappel (et selon Wikipédia) « le community manager ou gestionnaire de communauté est un métier qui consiste à animer et à fédérer des communautés sur Internet pour le compte d'une société ou d'une marque. Profondément lié au web 2.0 et au développement des réseaux sociaux, le métier est aujourd'hui encore en évolution. Le cœur de la profession réside dans l'interaction et l'échange avec les internautes (animation, modération) ; mais le gestionnaire de communauté peut occuper des activités diverses selon les contextes. ».

Petit à petit les territoires s’y mettent aussi, par exemple plus d’une trentaine d’agences de développement économique se sont armées d’une équipe de community manager ou le plus souvent il est vrai d’une personne dédiée (exemple : Invest in Reims).

Les objectifs sont multiples les avantages aussi. Outre l’occasion d’être « à la page » et d’utiliser les outils d’aujourd’hui (PC, smart Phone, Tablette) cela permet de connaître l’opinion des internautes sur un territoire ou une ville et de pouvoir réagir en temps réel, en revanche cela peut être chronophage voir obsessionnel … (cf une vidéo du community manager vu par Groland).

Il est donc possible de distiller toute sorte d’informations, quelles soient courtes (Twitter), un peu plus étoffées (FaceBook ou Google +), ou avec des images (Flickr), ou encore des vidéos (YouTube ou Dailymotion), etc. Il s’agit donc d’être présent sur la toile, de pouvoir communiquer directement avec sa cible en temps réel, de (tenter de) maîtriser sa communication et son image et surtout d’être visible !

Il est en effet plus facile d’écrire une dizaine de lignes sur un réseau social que d’envoyer un courrier. On assiste aujourd’hui à un nouveau mode de communication. Comment ne pas en tenir compte ? On notera également que la fonction de community manager n’intéresse pas seulement les marques commerciales ou les territoires, mais aussi des campus universitaires.

Aujourd’hui il est communément admis que la réputation d’une marque, ou même la notoriété d’un territoire, ne se décide plus en interne, car c’est bel et bien Google qui en décide… et n’en déplaise à certains. La Web-réputation se joue ainsi quasiment en temps réel.

Quelques chiffres à l’appui, pour démontrer l’importance prise par les réseaux sociaux, en 2011 :

  • 7 milliard d’individus sur terre
  • 2 milliards d’internautes
  • 1 milliard d’utilisateur de réseaux sociaux
  • 800 millions d’utilisateurs de Facebook
  • 200 millions d’utilisateurs de Twitter
  • 147 millions d’utilisateurs de Linkedin
  • 800 millions de visites sur YouTube
  • 91% des français utilisent Google comme moteur de recherche

Pour terminer, dans une société où l’information est le nerf de la guerre, les réseaux sociaux sont un canal important. Bien entendu trop d’informations tuent l’information, le deal étant de savoir la trier et la synthétiser. Enfin le phénomène Web 2.0 est suffisamment récent pour que l’on connaisse quelques difficultés à convaincre encore certaines administrations ou entreprises, de son importance (présente et future) et de son utilité.

Ci-joint une vidéo expliquant les fonctions d’un community manager.

mercredi 13 février 2013

City-branding or not city-branding

Je n’évoquerai pas ici les relations entre le branding et l’utilisation du sens ofactif (cf article branding et neurosciences il faut avoir du nez), même si l’on comprendra que le city branding évoque aussi la ville du future et donc toutes sortes d’initiatives pour faire d’une ville, une ville où l’on se « sent » bien.

Ainsi donc Branding et marketing territorial, voici deux termes qui se démocratisent de plus en plus (parfois même à l’excès : cf Marc thébault) et qu’il est aujourd’hui toujours bien vu de prononcer lors d’une conversation élégante et professionnelle autour d’un lunch festif avec des convives de choix ou pas. Par ailleurs croyez le il est plus facile de caser « Branding » et « Marketing Territorial » que « accipitre » ou encore « thuriféraire », bien qu’à la réflexion vous provoquerez un effet de curiosité certain et sans nul doute serez l’épiphénomène d’une soirée banchée.

Revenons au phénomène de city-branding, qui est selon une des quelques définitions que l’on peut trouver, « une discipline du marketing consistant à gérer une marque commerciale ». Bon ça c’est fait !

Ensuite, nous le voyons de plus en plus, les villes s’y mettent, souvenez vous du fameux « I love NY » des années 70, précurseur. Alors une ville est elle un produit comme un autre ? J’espère que non, et j’en suis même sûr, car il y a autant de différence entre le branding commercial et le city branding, qu’entre le marketing produit et le marketing territorial. Mais … oui il y a un mais, il reste des similitudes intéressantes. La ville est finalement un « produit » mais vraiment pas comme les autres !

Il est vrai que nous sommes (faute au marketeur ?!) hyper sensibilisés aux marques et aux logos. Une marque fait référence à un concept, à un message, une attitude, des valeurs etc (une pomme ! une virgule ! les 3 bandes ! un crocodile, etc). On s’attache parfois à une marque, elle peut être fédératrice, bref une marque dit beaucoup de chose et en évoque tout autant, pas étonnant donc que sur ces postulats les villes s’y mettent.

Lyon, Saint-Etienne, Paris, Strasbourg, Rennes, Nancy, Berlin, Amsterdam, etc etc toutes mes excuses auprès des autres villes que je n’ai pas citées car il y en a encore, mais aussi des territoires ; le Limousin, la Bretagne, l’Alsace (plus d’informations cf Vincent Gollain).

Le challenge des villes, aujourd’hui, est de proposer une marque et de promouvoir (et faire accepter) une identité propre et distinctive, une promesse, c’est à la fois complexe, long, audacieux mais extrêmement excitant, motivant, impliquant et fédérateur.

Comme le précise Boris Maynadier, une marque n’a jamais changé le destin d’une ville, par contre c’est une étape qui doit préfigurer l’intention de son changement, ou son changement en cours, c’est l’empreinte de son inévitable évolution vers une ville du future ?

Alors l'image suivante, Toulon or not Toulon?


mercredi 6 février 2013

Gamification, le téléphone portable est il l'arme suprême des Neuromarketeurs ?!

Nous le savons la dopamine, célèbre neurotransmetteur, joue un rôle essentiel dans le système de récompense, dans les phénomènes motivationnels, dans le renforcement positif, etc. A titre de rappel et pour les curieux de neuropathologie, ce même neurotransmetteur est mis en cause dans la maladie de Parkinson, ou la maladie de Huntington.

Il n'en fallait pas plus pour convaincre les marketeurs que le système dopaminergique pouvait jouer un rôle dans les liens (affectifs, motivationnels, etc) qui peuvent unir un consommateur à une marque, voir poussons l'hypothèse à l'extrême dans le comportement d'achat. A titre personnel je trouve toujours délicat de penser que notre cerveau fonctionne en mode on off, où il s'agit d’appuyer sur « un bouton » pour obtenir une réponse.

Or le jeu vidéo semble avoir une influence importante sur le système dopaminergique. Vous trouverez le parallèle osé mais chez les primates l'obtention d'une récompense augmente la sécrétion de dopamine, et ne l'oublions pas nous sommes bien tous des primates...

D'autre études ont montré que l'homme était plus sensible aux jeux vidéos que les femmes. Les régions cérébrales liées au plaisir étant plus stimulées.

Aujourd'hui la généralisation impressionnante des téléphones portables et le nombre substantiel d’applications de jeux, permettent aux marketeurs d’atteindre beaucoup plus de clients en utilisant la « gamification » (le ludique), cf l'article suivant. Même en marketing territorial le phénomène de la gamification se fait petit à petit une place, le jeu en vaut sans doute la peine... (cf l'article de Vincent Gollain : http://bit.ly/1ewNvlw).

Mais tout ceci appel à la critique et certains voient ici un nouveau moyen "dangereux" de manipulation mentale. Pour ma part je pense que le cerveau et son fonctionnement, sont si complexes, qu'on ne peut envisager les choses aussi simplement que:

Jeux / processus ludique-----> activation du système dopaminergique-----> renforcement positif------> addiction ?? Processus d'achat ?? Comportement favorable ??

Bien qu'en regardant la séquence suivante, les questions perdurent et les doutes persistent...

samedi 2 février 2013

Bienvenue chez les cht...open space !


Il est toujours ultra délicat pour un gars du Sud de parler du Chnord ! Mais lorsque l’on est intéressé par les façons dont les territoires œuvrent pour leur attractivité, alors oui on peut le faire.
Avouons le, je suis encore novice en matière de marketing territorial mais j’ai eu l’opportunité d’ouïr avec sérieux et rigueur certains experts en la matière, et quand mon attention est à son paroxysme, ma mémoire me surprend et me rappelant à son bon souvenir (plutôt utile pour sa fonction).

Donc, grâce à Vincent Gollain, j’ai appris que lorsque l'on met en place une stratégie de marketing territorial, il était nécessaire de « segmenter » la clientèle car oui la cible n'est pas formée que par le sacro saint chef d’entreprise cher à tout territoire. Le département du Nord nous le prouve en s’intéressant alors aux institutions, aux décideurs économiques, aux financeurs, et autres partenaires du département et la presse, dans sa campagne Open Space.

C'est étonnant malgré tout de voir un Conseil Général encore actif dans le développement économique, dans une période de bouleversement institutionnel, où ces compétences semblent être allouées à un niveau plus régional.

vendredi 25 janvier 2013

Le Var ; sea, sun and Technologie et Innovation

Si l’on réunit quelques évidences varoises, déjà citées dans un précédent post (la réitération peut avoir du bon) soit :

- Premier département touristique Français après la tour Eiffel,
- Premier département militaire Français avec un tissu de PME dynamique tourné vers l’innovation dans les technologies maritimes,
- Premier département producteur de fleurs coupées,
- Premier producteur de vin rosé,
- Plus de 300 jours d’ensoleillement par an,
- Des clubs sportifs jouant l’élite tels que le RCT.
- etc, etc à vous de continuer la liste…

On obtient : pas mal d’arguments pour venir s’y installer ! non ? « Le Var Osez ! »

Pour ajouter un peu d’images à ces quelques écrits, voici une petite vidéo réalisée par des gars d’chez nous pleins d’imagination (Blacktwin) sur commande de TVT Innovation. L’idée est de mettre en scène un personnage qui parcourt le Var afin de trouver toutes les technologies nécessaires in situ pour réaliser son projet. Projet qu’il mettra en scène sur le Faron dominant la plus belle rade d’Europe.

lundi 21 janvier 2013

Flattez-moi, je serai plus performant ! et c’est mon cerveau qui le dit

Du Neuromanagement ?!

A titre personnel j’ai toujours aimé les éloges et autres compliments à mon encontre. Surprenant ? ! … Je leur trouvais un effet notoire, bénéfique et extrêmement agréable. Une sorte de carburant bio ou psychobio, pour mon moteur motivationnel.

En fait très tôt, lors de mes compétitions de lancée de boulette de papier tout en respectant une procédure gestuelle travaillée, je sus que les encouragements et félicitations de mes camarades admirateurs avaient une influence positive, m’amenant vers l’excellence du geste. Performance accrue et respectée qui rendait blêmes mes anciens professeurs et actuels employeurs.

Mais je ne savais point qu’en réalité, ces éloges avaient un effet sur mon cerveau et plus particulièrement sur un neurotransmetteur bien connu des hédonistes : la DOPAMINE. Pour les initiés, le compliment semble activer mon système dopaminergique (striatum), favorisant ainsi la fameuse LTP, et par conséquent assurer/contribuer au phénomène de consolidation mnésique.

L’article de Sho K. Sugawara, met ainsi en évidence que ces "praises" ou "flattery" (in english) améliorent la performance sur des tâches motrices. « Féliciter moi et je serais plus performant » !

Par contre l’article n’identifie pas l’impact du sommeil avec ou sans éloges sur ces performances. On sait que le sommeil (de manière générale) est important pour la consolidation de la mémoire. Pour faire simple, des circuits neuronaux activés lors d’une tâche, le sont également en phase de sommeil, facilitant ainsi le phénomène de consolidation.

Moi qui adore dormir… j’espère que mon employeur comprendra que lorsque je pique du nez devant mon PC, je ne suis ni oisif et ni inutile, mais j’améliore ma mémoire, oui je consolide...!

Sur le schéma plus bas (Lampros Perogamvros et al) la figure B représente l’arc d’activation dopaminergique lors du sommeil paradoxal (REM). Activation qui contribue à la plasticité synaptique et à la consolidation mnésique.


vendredi 18 janvier 2013

Oui on peut être ambassadeur sans être technocrate ou une boule de chocolat festive !

Quoi de plus naturel que de promouvoir quelque chose que l’on aime. On voit depuis un certain temps, au sein de territoires, émerger des profondeurs du chauvinisme sain et justifié, des clubs d’ambassadeur.

Des passionnés amoureux de leur pays, qui souhaite le dire et assurer un prosélytisme convaincant vis-à-vis de cibles bien précises (chef d’entreprises, étudiants, etc). Leur but étant d’exporter l’image de leur passion territorialisée, et de convaincre les profanes que c’est ici qu’il faut être ! The place where to be !

Ainsi plusieurs territoires disposent déjà d’un club de passionnés, pour en citer quelques uns : Lyon – Ils ont choisi Lyon (http://ilsontchoisilyon.com), le Calvados – j’aime le calvados, l’Allier – club des ambassadeurs de l’Allier, Reims – invest in reims le blog, etc

Le Var réfléchit également au concept avec le lobby Var qui ne concernerait (dans un premier temps ?) que le golfe de Saint-Tropez.

Deuxième département touristique, 1er département forestier de France, 1er producteur de rosé, 1er département militaire français, n°1 français de la fleur coupée, département résolument tourné vers le sport de haut niveau (rugby, compétition automobile, sports nautiques, etc), on ne devrait pas avoir de mal à trouver des ambassadeurs, vu qu’on ne manque pas d’arguments…

mercredi 16 janvier 2013

Pas la fin du monde mais la fin du pop up store « Auvergne nouveau monde »,

Fin du pop up store « Auvergne nouveau monde » et bien voilà moi je veux parler Auvergnat ! Alors est-ce pour combler une frustration bouillonnante de ne pouvoir faire, au moins convaincre au sein de mon réseau professionnel, que la notoriété d’un territoire est importante dans notre époque de concurrence accrue. Pas si improbable ! Plus convaincant je me dois d’être (message personnel à moi-même…)

Mais oui j’avoue avoir une certaine admiration émotive et contrôlée concernant les campagnes de marketing de l’Auvergne. Après avoir vu (et rerere-vu) avec un plaisir indiscret et tellement soulageant, la campagne sur les urbanophiles, j’ai été jalousement mais volontairement charmé par la campagne de marketing expérientiel Pop Up Store. Ca donne des idées et ça laisse même un brin rêveur. N’est ce pas là une des fonctions du marketing territorial, donner une part de rêve ; la promesse client.

Bravo l’Auvergne !

Ci joint la première vidéo des urbanophiles, il y en a plusieurs, enjoy!

mardi 15 janvier 2013

Equation : industrie automobile + cerveau= … NEURODESIGN

Le Dr A.K. Pradeep propose, aux designers automobiles, dans son ouvrage « the Buying Brain » (cf l’article de Monica Diana Bercea), un mode d’emploi ou du moins quelques pistes de compréhension du fonctionnement cérébral en fonction de stimuli (le plus souvent visuels).

Quelques bons conseils, peut être pour relancer notre industrie automobile nationale ?!

Pour ma part, on parle de Neurosciences, on devrait sans doute aborder cet aspect sous l’angle Neuropsychologique, voir purement psychologique. Nous avons certes tous le même cerveau mais étrangement nous n’avons pas forcément la même manière de le faire fonctionner.

Un même évènement vécu par plusieurs personnes, sera perçu différemment par chacune d’entre elle. Mais en augmentant l’échantillon de personnes, on peut avoir des similitudes de groupe (segmentation).

En tous les cas, moi le stimulus dont je suis le plus sensible en matière automobile, ça reste en premier lieu, le stimulus visuel … du prix ! Mais les choses peuvent changer.



jeudi 10 janvier 2013

Une stratégie de Marketing territorial en 5 points par Barcelone

Le Marketing Territorial s’intéresse et utilise de plus en plus les réseaux sociaux, outre le coût avantageux en terme de financement mais parfois chronophage en terme d’investissement humain, ils permettent d’être au plus prêt du prospect, de communiquer de manière immédiate, d’être réactif et surtout d’être « à la page ».

Barcelone, comme d’autres territoires, l’a compris et en a fait un des 5 points de sa stratégie de marketing territorial (cf l’article de Vincent Gollain).

Pour ma part je noterais l’enthousiasme grandissant de la ville (cf photo), quelque chose de profond et de pénétrant…. Intrigant ! Fallait oser…


Branding et Neurosciences, il faut avoir du nez !

Les émotions, la mémoire ou les mémoires devrais-je dire, sont associées à des régions cérébrales bien précises et à des interactions spécifiques. J’ouvre une parenthèse spéciale pour mon fils adoré de 6 ans, qui lors d’un rappel d’un évènement passé, qui m’a tenu ce discours philosophiquement intéressant : « mais papa si je me souviens de ça, c’est parce qu’en fait c’est mon cerveau qui s’en souvient » … Donc pour le plus septiques s’est bien dans le cerveau qu’on trouve la mémoire, mais est on son propre cerveau est ce que le cerveau n’est qu’une partie de soi…

Bref les marketeurs réfléchissent sur les moyens permettant d’améliorer la notoriété de leur marque (Brand) chez le consommateur (oui nous), en jouant sur les processus émotionnels et sur la mémoire associative.

L’article de Jennifer Dublino met en avant le sens olfactif comme étant celui directement connecté aux émotions et à la mémoire associative. A titre personnel, pour avoir travaillé chez le modèle animal, n’oublions pas que la vision est un sens extrêmement important dans les phénomènes de mémorisation, tout comme l’audition dans les modèles de stress post traumatique.

Ainsi des marques ont utilisé ce sens (expl : fragrance dispersée dans des magasins pour Abercrombie & Fitch) pour associer marque et odeur en jouant donc sur une connotation émotionnelle et associative. On n’est pas très loin de la madeleine de Proust qui associe un autre sens.

Posons donc la question suivante, est-ce que dans une approche de marketing territorial expérientielle, utiliser une fragrance rappelant un territoire particulier, permettrait de jouer sur les désirs d’implantation ?

mardi 8 janvier 2013

Cerveau je te vois et je peux/veux te comprendre ( ?!)


Oui on peut regarder et mieux comprendre le cerveau humain en plein fonctionnement. Dans mes souvenirs, un certain Hannibal lecter dans un des volets de la célèbre « multilogie » (tri ?!) du silence des agneaux, s’était promus fin cuisinier et surtout chercheur original tentant de voir le cerveau de très prés… Mais quand la fiction rejoint la réalité, il n’y a parfois qu’un « pet scan ». Aujourd’hui, croyez le des scientifiques le font et le font bien, et qui plus est sur des sujets volontaires.

Les techniques de neuro-imagerie fonctionnelle (NiF) ont fait un progrès considérable. Elles permettent de révéler de manière assez fine l’activation de certaines régions cérébrales en fonction de taches diverses ou de stimuli particuliers.

Que ce soit en clinique, en recherche fondamentale ou même en neuromarketing, ces techniques de NiF, permette de mieux comprendre les émotions ou les prises de décision.

Le Professeur Patrik Vuilleumier (Université de Genève), en a fait une synthèse très bien faite dans le magazine médecine/sciences 2011.

A titre d’exemple voici deux illustrations issues de l’article du professeur Vuilleumier, mettant en évidence des différences d’activation de régions cérébrales sur des patients souffrant de certains troubles anxieux.






lundi 7 janvier 2013

Un Parc d'Activités sinon rien !

Selon la définition, « le marketing territorial c’est l’effort d’attractivité des territoires à des marchés concurrentiels pour influencer, en leur faveur, le comportement de leurs publics par une offre dont la valeur perçue est durablement supérieur à celle des concurrents. ».

Parfois une photo peut exprimer à elle seule cette conception, alors sachez que les quelques clichés humblement pris par mes soins, l’ont été ……. dans une vraie Zone d’Activités du Var !

Et en plus il reste de la place pour s’y installer !

Nul besoin d’en dire plus…




Chérie j'ai fait un blog

Un blog pourquoi, un blog comment, un blog pour qui ?! Bon pour être franc je dirai en premier lieu un blog pour tester, pour essayer, pour partager et je l’espère pour m’amuser ! Finalement créer et faire vivre un blog est un acte égoïstement altruiste.

vendredi 4 janvier 2013

Merci à vous et ...

Une salutation distinguée et chaleureuse à tous ceux qui viendront se perdre dans les méandres syntaxiques de ce blog. J'ai décidé de parler de 3 thèmes aussi vastes que complexes au risque mesuré de me perdre. Alors je vais dans un premier temps déverser de manière énervée et convulsive toute sorte d’idées et de pensées.